I- L’efficience
L’efficience de notre politique de santé s'articule autour de trois points :
• L’état de santé de notre population, obtenu à partir de nos dépenses de santé
• Nos dépenses pour obtenir cet état de santé
• Notre situation comparée aux autres pays
L’état de santé de notre population :
il repose sur deux principaux critères qui sont à comparer avec les moyennes mondiales :
• L’espérance de vie
• Les principales causes de mortalité
Notre espérance de vie pour 2015 est montée à 76,75 ans pour les deux sexes (source Banque mondiale). Le classement mondial de l’OMS nous place donc 46e avec le Mexique et la Slovaquie ; le Japon arrivant en 1er avec 83,7 ans et la France 10e avec 82,4 ans. D’après une récente étude scientifique (Yanping Li, 30 avril 2018), ne pas fumer, éviter ou boire modérément de l’alcool, faire de l’exercice régulièrement, maintenir un poids équilibré et manger sainement rallongeraient la longévité de 14 ans. Une autre étude (Leanne M. Redman, 3 avril 2018) confirme que manger moins (la restriction en calories ralentit le métabolisme et le vieillissement) a un effet bénéfique sur la longévité. Donc ironie du sort, si la richesse permet de manger avec excès pour tendre vers l’obésité, la pauvreté, elle, invite à la frugalité pour tendre vers un poids idéal et donc vers une meilleure longévité !
Malheureusement, cette longévité est compromise, puisque selon une étude du Lancet datée du 2 avril 2016, notre population était déjà l’une des plus obèses au monde...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 386 en cliquant ICI
• L’état de santé de notre population, obtenu à partir de nos dépenses de santé
• Nos dépenses pour obtenir cet état de santé
• Notre situation comparée aux autres pays
L’état de santé de notre population :
il repose sur deux principaux critères qui sont à comparer avec les moyennes mondiales :
• L’espérance de vie
• Les principales causes de mortalité
Notre espérance de vie pour 2015 est montée à 76,75 ans pour les deux sexes (source Banque mondiale). Le classement mondial de l’OMS nous place donc 46e avec le Mexique et la Slovaquie ; le Japon arrivant en 1er avec 83,7 ans et la France 10e avec 82,4 ans. D’après une récente étude scientifique (Yanping Li, 30 avril 2018), ne pas fumer, éviter ou boire modérément de l’alcool, faire de l’exercice régulièrement, maintenir un poids équilibré et manger sainement rallongeraient la longévité de 14 ans. Une autre étude (Leanne M. Redman, 3 avril 2018) confirme que manger moins (la restriction en calories ralentit le métabolisme et le vieillissement) a un effet bénéfique sur la longévité. Donc ironie du sort, si la richesse permet de manger avec excès pour tendre vers l’obésité, la pauvreté, elle, invite à la frugalité pour tendre vers un poids idéal et donc vers une meilleure longévité !
Malheureusement, cette longévité est compromise, puisque selon une étude du Lancet datée du 2 avril 2016, notre population était déjà l’une des plus obèses au monde...
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