
Sandales aux pieds et chapeau en pae’ore sur la tête, Père Christophe a un charisme certain et un air mystérieux qu’il cultive… Crédit photos : Dominique Schmitt
Tout le monde le connaît et l’apprécie, ou du moins le respecte. Avec sa silhouette élancée, ses cheveux longs bouclés et sa barbe poivre-sel, il a le parfait profil de l’emploi et incarne la sagesse du patriarche. Sandales aux pieds et chapeau en pae’ore sur la tête, Père Christophe bénéficie d’une popularité immense lorsqu’il arpente les rues de la ville ; tous les gens qu’il croise le saluent et l’interpellent. Il faut dire que l’homme a un charisme certain et un air mystérieux qu’il cultive. Surtout, il vit tous les jours au contact de la population, en immersion totale. C’est d’ailleurs ce lien avec les autres qu’il est venu retrouver en s’installant en Polynésie et qui a suscité sa vocation.
C’est du haut de ses 15 ans et demi que Christophe Barlier s’engage dans la Marine nationale et intègre l’école des mousses, pendant six ans. L’Alsacien pure souche, qui a grandi à Colmar, prend le large en 1979 et quitte le port de Lorient pour de nouveaux horizons. Il arrive donc à Tahiti par la mer, en 1981, et séjourne durant deux longues périodes au fenua : en 1981-1982 et en 1983-1985. À bord de la Lorientaise, puis de la Paimpolaise, il sillonne ainsi nombre d’archipels : les Marquises, les Australes et la Société n’ont bientôt presque plus aucun secret pour lui... Le timonier devient également projectionniste, pour le plus grand plaisir des habitants des îles qui n’ont, bien souvent, ni télé ni électricité...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 400 en [cliquant ICI]url: https://www.tahiti-pacifique.com/shop/N-400-8-fevrier-2019_p169.html
C’est du haut de ses 15 ans et demi que Christophe Barlier s’engage dans la Marine nationale et intègre l’école des mousses, pendant six ans. L’Alsacien pure souche, qui a grandi à Colmar, prend le large en 1979 et quitte le port de Lorient pour de nouveaux horizons. Il arrive donc à Tahiti par la mer, en 1981, et séjourne durant deux longues périodes au fenua : en 1981-1982 et en 1983-1985. À bord de la Lorientaise, puis de la Paimpolaise, il sillonne ainsi nombre d’archipels : les Marquises, les Australes et la Société n’ont bientôt presque plus aucun secret pour lui... Le timonier devient également projectionniste, pour le plus grand plaisir des habitants des îles qui n’ont, bien souvent, ni télé ni électricité...
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Béni solennellement le 28 juin 2016, le “Truck de la Miséricorde” assure des "maraudes" les mardis ou jeudis pour offrir un plat chaud et quelques victuailles aux plus démunis. Chaque soir, 96 repas sont ainsi distribués de Faa’a à Pirae, en passant par Papeete, qui abrite le plus grand nombre de SDF.