Jacques Navarro-Rovira, un regard unique derrière la caméra


Vendredi 31 Mai 2019 - écrit par Dominique Schmitt


Multi-récompensé pour ses documentaires, diffusés notamment dans le cadre du Fifo, Jacques Navarro-Rovira est sur le point de repartir en métropole. Installé au fenua depuis bientôt vingt-cinq ans, il revient pour Tahiti Pacifique sur sa carrière riche en rencontres et présente ses prochains projets cinématographiques. Portrait d’un artiste au regard unique, qui a marqué le paysage audiovisuel local de son empreinte singulière.



Crédit photo : DR
Né en 1950, Jacques Navarro-Rovira a été sensibilisé très tôt à la photographie et à la cinématographie grâce à un grand-père lyonnais, cinéaste amateur et intime des frères Lumière. Étudiant, le déclic s'opère sur les bancs de l’ESSEC (École supérieure des sciences économiques et commerciales), lorsqu'il fait la connaissance de copains aussi férus que lui de Septième art. Ensemble, ils fondent en 1973 une société de production parisienne "Les Films du Sabre", qu’il codirige jusqu’en 1993, date de l’entrée du groupe Expand dans le groupe Sabre.
Avec des responsabilités au sein de la direction, ainsi que sur les tournages où il occupe successivement nombre de fonctions d’assistant réalisateur, de régisseur, de directeur de production, notamment lors des débuts du Sabre dans le film de fiction, avec la production d’une dizaine de courts métrages (Arthur Joffé, Jean-Jacques Beineix, Stéphane Kurc, Takis Candilis, Quentin Raspail, Armand Bernardi, Georges Campana, etc.), ainsi que le long métrage de Stéphane Kurc, L’œil du Maître, il développe une pratique très polyvalente de ce métier. Par goût du terrain, il écrit, filme et réalise par ailleurs une soixantaine de films institutionnels pour la plupart des grandes entreprises ou services publics français, dont plusieurs seront primés...

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