Le colonel Theodore Roosevelt, futur président des États-Unis, et ses hommes, exténués et tendus après la prise sanglante des collines San Juan, le 1er juin 1898 à Cuba.
Il y avait une révolution qui se déroulait à Cuba, une guerre pour l’indépendance de l’île. En 1878, un général espagnol modéré, Martinez Campos, négocia équitablement une paix, clôturant dix années d’une guerre qui avait opposé les forces coloniales espagnoles aux insurgés indépendantistes cubains. L’accord fut signé à Zanjon (Cuba) entre Campos et le chef des "insurrectos", Vicente Garcia. Dix-sept ans plus tard, la répression reprit de plus belle : toutes les lois étaient imposées par l’Espagne ; le budget annuel de l’île, c’est-à-dire l’estimation annuelle des revenus et des exportations, était fait par Madrid. Tous les fonctionnaires gouvernementaux venaient de la métropole. Madrid décidait des impôts et les prélevait, tandis que les Cubains s’exécutaient. La grande absence de vie politique locale à Cuba et d’une significative représentation cubaine au Cortès (assemblée nationale espagnole), ainsi que la ponction sans modération de taxes par le gouvernement espagnol facilitèrent l’avènement de l’insurrection cubaine en février 1895...
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