Ce sera non. À moins qu’un "très fort consensus de l’ensemble des forces démocratiques calédoniennes" ne se dégage sur ce point, on ne dérogera pas à l’accord de Nouméa et à la possibilité offerte à un tiers des élus du Congrès d’organiser un deuxième référendum en 2020, puis un troisième en 2022.
Telle a été la réponse d’édouard Philippe à la question posée par Philippe Gomès à l’Assemblée nationale.
Chez les Républicains calédoniens, on souhaite substituer à ces deux consultations la possibilité pour les Calédoniens de déclencher un nouveau référendum à échéance de dix ou quinze ans. Là encore, l’entreprise semble hasardeuse.
À Calédonie ensemble, l’objectif est presque similaire, mais il emprunterait la voie d’une négociation mal enclenchée au vu des résultats du
4 novembre. Le point commun aux motivations des formations loyalistes, c’est d’éviter une période d’instabilité institutionnelle et économique qui pourrait accompagner les cinq prochaines années.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes
Telle a été la réponse d’édouard Philippe à la question posée par Philippe Gomès à l’Assemblée nationale.
Chez les Républicains calédoniens, on souhaite substituer à ces deux consultations la possibilité pour les Calédoniens de déclencher un nouveau référendum à échéance de dix ou quinze ans. Là encore, l’entreprise semble hasardeuse.
À Calédonie ensemble, l’objectif est presque similaire, mais il emprunterait la voie d’une négociation mal enclenchée au vu des résultats du
4 novembre. Le point commun aux motivations des formations loyalistes, c’est d’éviter une période d’instabilité institutionnelle et économique qui pourrait accompagner les cinq prochaines années.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes