Les faits remontent au 2 décembre, lorsqu’un professeur de collège, métropolitain, s’offre un week-end de windsurf dans la réserve naturelle de Ouano, sur l’îlot Konduyo. Installé, il compte se coucher tôt pour profiter d’une nouvelle journée de glisse avec un de ses amis.
Mais un groupe de trois personnes débarque. Des habitués des lieux. Des locaux. Qui n’hésitent pas à vider quelques verres de whisky et à mettre de la musique. Tout cela à seulement
7 mètres du campement des deux windsurfeurs. Un premier échange a lieu. Et Thierry*, décide de prendre l’enceinte et de l’éteindre avant d’aller se recoucher. Mireille*, 20 ans et un peu éméchée, est ulcérée de se voir donner des ordres. Les insultes fusent tandis que l’homme retourne se coucher. "Pour qui tu te prends en… de Zoreille ! On est chez nous, je vais crever ton bateau… Bâtard." La jeune femme ne décolère pas. Au contraire, elle attend que ses amis, fatigués de son attitude, aillent se coucher.
Elle décide alors de remettre la musique encore plus fort. Puis d’attendre que celui qui a osé s’installer sur "son spot" réagisse. Thierry se relève, puis demande à son collègue s’il doit y retourner.
À 3 heures du matin et après avoir patienté 30 minutes, il décide de retenter le coup. C’est à ce moment-là que les versions sont différentes. D’un côté, le professeur de collège de Nouméa, âgé de 35 ans, affirme avoir reçu des coups de grille de barbecue sur le bras et à la pommette, une attestation médicale en atteste, puis en tentant de se défendre, l’avoir fait chuter. Résultat, un nez cassé ! De l’autre, la jeune femme explique avoir directement reçu un coup de poing en plein visage, puis un autre lui ayant cassé une dent. Chacun reste sur ses déclarations.
Le tribunal n’attend pas très longtemps pour rendre sa décision. L’homme est relaxé. La jeune femme, elle, devra payer 12 000 francs pour les nuisances sonores sur un espace naturel protégé.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes
Mais un groupe de trois personnes débarque. Des habitués des lieux. Des locaux. Qui n’hésitent pas à vider quelques verres de whisky et à mettre de la musique. Tout cela à seulement
7 mètres du campement des deux windsurfeurs. Un premier échange a lieu. Et Thierry*, décide de prendre l’enceinte et de l’éteindre avant d’aller se recoucher. Mireille*, 20 ans et un peu éméchée, est ulcérée de se voir donner des ordres. Les insultes fusent tandis que l’homme retourne se coucher. "Pour qui tu te prends en… de Zoreille ! On est chez nous, je vais crever ton bateau… Bâtard." La jeune femme ne décolère pas. Au contraire, elle attend que ses amis, fatigués de son attitude, aillent se coucher.
Elle décide alors de remettre la musique encore plus fort. Puis d’attendre que celui qui a osé s’installer sur "son spot" réagisse. Thierry se relève, puis demande à son collègue s’il doit y retourner.
À 3 heures du matin et après avoir patienté 30 minutes, il décide de retenter le coup. C’est à ce moment-là que les versions sont différentes. D’un côté, le professeur de collège de Nouméa, âgé de 35 ans, affirme avoir reçu des coups de grille de barbecue sur le bras et à la pommette, une attestation médicale en atteste, puis en tentant de se défendre, l’avoir fait chuter. Résultat, un nez cassé ! De l’autre, la jeune femme explique avoir directement reçu un coup de poing en plein visage, puis un autre lui ayant cassé une dent. Chacun reste sur ses déclarations.
Le tribunal n’attend pas très longtemps pour rendre sa décision. L’homme est relaxé. La jeune femme, elle, devra payer 12 000 francs pour les nuisances sonores sur un espace naturel protégé.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes