Crédit photo : FTV
Tahiti qui accueille à Pirae les 18es Championnats du monde de va’a, du 19 au 26 juillet, ne sera même pas la délégation la plus représentée ; une première en soi depuis que ces championnats existent. En 2016, face à l’armada néo-zélandaise équivalente à l’australienne, Tahiti avait été submergée par le nombre au point de perdre sa place de meilleure nation mondiale pour la première fois de son histoire. On pouvait penser que ces championnats sur son plan d’eau seraient l’occasion de remettre les pendules à l’heure, mais cette "formalité" est loin d’être acquise. Ce seront bien les Kiwis qui seront les plus nombreux à ramer avec pas moins de 552 inscrits contre 542 pour Tahiti Nui (sous réserve de modification). Et dans la formule actuelle, la masse permet d’engranger plus de médailles car il faut bien occuper les couloirs. Un pays peut donc rafler les trois médailles mises en jeu à chaque course dans la catégorie club. La Nouvelle-Zélande en avait bien profité en 2016...
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