Witi Ihimaera a pour habitude de signer des récits qui dressent d’authentiques tableaux de Aotearoa-Nouvelle-Zélande. Pour cette récente traduction de White Lies (2013) chez Au Vent des îles (2020), l’auteur maori ne déroge pas à sa marque de fabrique. Faux-semblant aborde des thèmes engagés à travers des personnages féminins puissants, résolument ancrés dans la culture māori. Au fil d’une centaine de pages, il explore avec humanité et sensibilité des sujets profonds et épineux : médecine traditionnelle, tabous intercommunautaires, avortement, maternité et question du métissage.
Si le récit fait la part belle à Paraiti, tohunga, guérisseuse māori, c’est que cette femme – on l’apprend grâce à la postface – a sauvé la vie de l’auteur lorsqu’il était enfant. On comprend alors que l’écrivain rende hommage à cette "(…) mère, [qui] est toutes les mères" (p. 85), cette "donneuse de vie" "dévouée à la santé de son peuple" (p. 30) qui, dans le roman, se retrouve confrontée à un dilemme moral dont on laissera le soin au lecteur de découvrir.
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Si le récit fait la part belle à Paraiti, tohunga, guérisseuse māori, c’est que cette femme – on l’apprend grâce à la postface – a sauvé la vie de l’auteur lorsqu’il était enfant. On comprend alors que l’écrivain rende hommage à cette "(…) mère, [qui] est toutes les mères" (p. 85), cette "donneuse de vie" "dévouée à la santé de son peuple" (p. 30) qui, dans le roman, se retrouve confrontée à un dilemme moral dont on laissera le soin au lecteur de découvrir.
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