Les bagarres survenues en fin de semaine devant trois lycées du Grand Nouméa n’auraient rien à voir avec les rixes de 2017, estiment établissements scolaires et autorités. La vigilance reste de mise.
"Nous avons dû gérer de petites bagarres qui n’ont rien à voir avec celles de 2017. Ces affrontements ne sont pas aujourd’hui de nature à nous inquiéter." Pour César Lizurey, commandant de la compagnie de gendarmerie de Nouméa et des îles Loyauté, si une vigilance doit être maintenue autour des établissements scolaires en cette période de rentrée, les bagarres survenues en fin de semaine devant les lycées Jules-Garnier (Nouméa) et du Mont-Dore, tiendraient plus de "l’acte isolé" que de la rixe générale. Le week-end aurait d’ailleurs été, selon lui, "moins violent" qu’attendu. "Les vacances avaient apaisé les esprits, la rentrée a remis ensemble des groupes antagonistes."
Les altercations, dont les raisons varient, auront tout de même impliqué jets de pierre et grenades lacrymogènes devant le lycée nouméen, mobilisant des parents inquiets de voir revenir les affrontements. Ils relativisent aujourd’hui. "La violence a beaucoup diminué, il y a eu de nombreux échanges. On rappelle chaque année aux parents qu’il ne faut pas lâcher l’éducation de leurs enfants parce qu’ils sont grands, mais on ne peut pas être partout", pose Amélie Tanifatea, vice-présidente de l’APE de Jules-Garnier, qui salue une équipe encadrante volontaire. "Nous menons une politique de bienveillance et de fermeté. Nous avons fait ce qu’il faut vendredi et dimanche soir à l’internat. Des mesures ont déjà été prises, confirme Michel Lehoullier, le proviseur. Nous avons fait en sorte que tout soit apaisé et que les auteurs des faits soient identifiés et sanctionnés."
Source : Les Nouvelles Calédoniennes
"Nous avons dû gérer de petites bagarres qui n’ont rien à voir avec celles de 2017. Ces affrontements ne sont pas aujourd’hui de nature à nous inquiéter." Pour César Lizurey, commandant de la compagnie de gendarmerie de Nouméa et des îles Loyauté, si une vigilance doit être maintenue autour des établissements scolaires en cette période de rentrée, les bagarres survenues en fin de semaine devant les lycées Jules-Garnier (Nouméa) et du Mont-Dore, tiendraient plus de "l’acte isolé" que de la rixe générale. Le week-end aurait d’ailleurs été, selon lui, "moins violent" qu’attendu. "Les vacances avaient apaisé les esprits, la rentrée a remis ensemble des groupes antagonistes."
Les altercations, dont les raisons varient, auront tout de même impliqué jets de pierre et grenades lacrymogènes devant le lycée nouméen, mobilisant des parents inquiets de voir revenir les affrontements. Ils relativisent aujourd’hui. "La violence a beaucoup diminué, il y a eu de nombreux échanges. On rappelle chaque année aux parents qu’il ne faut pas lâcher l’éducation de leurs enfants parce qu’ils sont grands, mais on ne peut pas être partout", pose Amélie Tanifatea, vice-présidente de l’APE de Jules-Garnier, qui salue une équipe encadrante volontaire. "Nous menons une politique de bienveillance et de fermeté. Nous avons fait ce qu’il faut vendredi et dimanche soir à l’internat. Des mesures ont déjà été prises, confirme Michel Lehoullier, le proviseur. Nous avons fait en sorte que tout soit apaisé et que les auteurs des faits soient identifiés et sanctionnés."
Source : Les Nouvelles Calédoniennes

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