Harcèlement, mutation, maladie, mise à la retraite, tous ces motifs invoqués par une employée de l’OPT lui valent de réclamer plus de 180 millions à l’Office.
C’est peu dire que la somme est rondelette. Une employée de l’OPT, agent d’exploitation, aujourd’hui mise à la retraite d’office, a demandé devant le tribunal administratif de Nouméa la condamnation de l’OPT à lui verser 180 millions de Fcfp, voire un peu plus, au titre de divers préjudices, au premier rang desquels le harcèlement moral, dont elle dit avoir été victime. De la part de sa hiérarchie, de la part de ses collègues, de la part des usagers aussi. Enfin, de la part d’un peu tout le monde.
Comment arrive-t-on à une telle somme ? Prenez 60 millions au titre du harcèlement moral, ajoutez-y 60 autres millions au titre du préjudice professionnel, saupoudrez avec 14 millions de préjudices à raison d’une sanction déguisée, secouez le tout avec 60 millions supplémentaires de préjudice financier. En fait, on frôle les 200 millions. Hélas, la malheureuse postière mise à la retraite va sans doute devoir se contenter de
250 000 Fcfp parce que l’OPT d’abord, le gouvernement calédonien ensuite, ont multiplié les bévues dans la gestion d’un dossier humainement délicat et compliqué.
Le jugement sera rendu le 31 janvier.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes
C’est peu dire que la somme est rondelette. Une employée de l’OPT, agent d’exploitation, aujourd’hui mise à la retraite d’office, a demandé devant le tribunal administratif de Nouméa la condamnation de l’OPT à lui verser 180 millions de Fcfp, voire un peu plus, au titre de divers préjudices, au premier rang desquels le harcèlement moral, dont elle dit avoir été victime. De la part de sa hiérarchie, de la part de ses collègues, de la part des usagers aussi. Enfin, de la part d’un peu tout le monde.
Comment arrive-t-on à une telle somme ? Prenez 60 millions au titre du harcèlement moral, ajoutez-y 60 autres millions au titre du préjudice professionnel, saupoudrez avec 14 millions de préjudices à raison d’une sanction déguisée, secouez le tout avec 60 millions supplémentaires de préjudice financier. En fait, on frôle les 200 millions. Hélas, la malheureuse postière mise à la retraite va sans doute devoir se contenter de
250 000 Fcfp parce que l’OPT d’abord, le gouvernement calédonien ensuite, ont multiplié les bévues dans la gestion d’un dossier humainement délicat et compliqué.
Le jugement sera rendu le 31 janvier.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes

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