Le parcours du combattant que mène Pierre Yves Le Vaillant, dit Robby, inspire l’horreur en même temps qu’il force le respect. Son histoire infernale commence en janvier 2008, lorsqu’il va consulter un médecin pour une simple douleur sous l’oreille. Le docteur prend alors l’initiative, sans son accord comme le prévoit la loi, de réaliser une opération qui se révélera être une grossière erreur médicale et alors qu’il devait simplement effectuer une biopsie. La vie de Robby vire alors au cauchemar. Après 24 opérations lourdes, ce directeur d’une agence immobilière de la place n’a plus le même visage qu’auparavant, même si les interventions chirurgicales sont parvenues à effacer certains stigmates.
La liste des erreurs auxquelles il été confronté est résumée ainsi par son avocat : “Réalisation d’une IRM n’intéressant pas la région carotidienne qui constituait pourtant le siège de ses plaintes (!) ; méconnaissance de la tumeur carotidienne lors d’un premier geste chirurgical parfaitement inutile et non précédé de son consentement (!) ; examen neurochirurgical si léger qu’il n’a pas permis de constater les difficultés neurologiques qui existaient ; non-diagnostic de la pathologie cancéreuse par le Laboratoire d’anatomopathologie de Papeete, à l’origine d’un retard de prise en charge par l’IGR (Institut Gustave Roussy, ndlr) ; information édulcorée par l’équipe médicale de l’IGR quant aux risques inhérents à la radiothérapie entreprise et à la prise en charge multidisciplinaire qu’il était opportun d’envisager ; infection nosocomiale apparue dans les suites de la reprise de parotidectomie le 8/07/2009.” ...
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La liste des erreurs auxquelles il été confronté est résumée ainsi par son avocat : “Réalisation d’une IRM n’intéressant pas la région carotidienne qui constituait pourtant le siège de ses plaintes (!) ; méconnaissance de la tumeur carotidienne lors d’un premier geste chirurgical parfaitement inutile et non précédé de son consentement (!) ; examen neurochirurgical si léger qu’il n’a pas permis de constater les difficultés neurologiques qui existaient ; non-diagnostic de la pathologie cancéreuse par le Laboratoire d’anatomopathologie de Papeete, à l’origine d’un retard de prise en charge par l’IGR (Institut Gustave Roussy, ndlr) ; information édulcorée par l’équipe médicale de l’IGR quant aux risques inhérents à la radiothérapie entreprise et à la prise en charge multidisciplinaire qu’il était opportun d’envisager ; infection nosocomiale apparue dans les suites de la reprise de parotidectomie le 8/07/2009.” ...
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