Un coup unique en plein thorax. Le quartier de la Vallée-des-Colons est sous le choc depuis l’annonce du décès par arme blanche d’une quinquagénaire. Il est un peu plus de 14 heures, hier, lorsque la police est informée de la situation : une femme aurait reçu un coup de couteau. Les pompiers ainsi que le Samu partent immédiatement en direction d’une maison, située rue de Charleroi, dans le quartier de la Vallée-des-Colons. Les secours retrouvent la victime très sérieusement blessée à la poitrine et opèrent plusieurs tentatives de réanimation. En vain. Les médecins ne peuvent que constater en milieu de l’après-midi le décès de cette femme âgée de 51 ans. Sur le trottoir, voisins et curieux observent attentivement l’intervention des secours et cherchent à savoir ce qui se passe. Entretemps, un équipage de la brigade anticriminalité interpelle le compagnon de la victime qui se désigne comme l’auteur du coup de couteau. L’homme, fortement alcoolisé, est emmené au commissariat.
Selon les premiers éléments recueillis dans le quartier, la victime, qui serait arrivée sur le Caillou depuis le Vietnam il y a quelques années, est décédée après avoir subi un coup de couteau en plein cœur. Ce drame interviendrait dans un contexte de dispute conjugale sans que l’on sache encore ce que le meurtrier présumé reprocherait exactement à sa victime. À l’issue de la garde à vue, le quinquagénaire devrait être présenté et mis en examen par un juge d’instruction pour meurtre. Il risquerait alors trente années de réclusion criminelle devant une cour d’assises.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes
Selon les premiers éléments recueillis dans le quartier, la victime, qui serait arrivée sur le Caillou depuis le Vietnam il y a quelques années, est décédée après avoir subi un coup de couteau en plein cœur. Ce drame interviendrait dans un contexte de dispute conjugale sans que l’on sache encore ce que le meurtrier présumé reprocherait exactement à sa victime. À l’issue de la garde à vue, le quinquagénaire devrait être présenté et mis en examen par un juge d’instruction pour meurtre. Il risquerait alors trente années de réclusion criminelle devant une cour d’assises.
Source : Les Nouvelles Calédoniennes

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