La commune de Mahina est visiblement à la recherche de terrains à mettre à disposition de ses administrés. La zone résidentielle du Tahara’a est un lieu particulièrement séduisant qui a attiré un promoteur immobilier néo-calédonien en passe de faire l’acquisition d’un terrain appartenant à la famille Tirao. Une rencontre entre ce promoteur et l’ASL Oviri (organisée en août 2020) avait permis, via le dialogue, de modifier le projet initial portant sur 53 maisons individuelles et 4 petits immeubles de 20 logements. Si rien n’est encore officiel, le projet revisité ne porterait plus que sur une soixantaine d’habitations. Mais cela reste encore trop pour les 150 riverains du collectif regroupant l’ASL Oviri, la résidence Tahara’a (ex-Baccino) et le Matavai Lodge qui dénoncent en premier lieu une surexploitation foncière ; la densité serait doublement supérieure à l’existentiel. Loin d’être dans une opposition pure et dure à tout projet, ce collectif entend bien faire entendre sa voix auprès de la mairie et de la commissaire enquêtrice qui sera sur place du 19 au 24 avril, date de fin du nouveau PGA consultable depuis le lundi 22 mars...
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