Lors de la cérémonie de remise de prix, Claudine Jacques évoquait la genèse de Caledonia Blues : "Je suis souvent révoltée à la lecture des faits divers. Et souvent, ce sont des femmes qui trinquent. J’ai voulu leur donner une place prépondérante. Lorsque que j’apprends qu’une femme est morte rouée de coups, une autre lacérée au cutter, une autre violée, j’ai mal. Alors j’écris pour (…) que ce ne soit pas seulement la Une éphémère d’un journal, une histoire anonyme. Les violences faites aux femmes sont un fléau. (…) L’écrire, c’est agir." (Les Nouvelles Calédoniennes, 28 mai 2020)
Une réalité sociale outre-mer à l’aube de l’autodétermination
Écrire, agir, comme on respire. Ces nouvelles comme une bouffée d’oxygène au nom de toutes ces femmes, contre le silence et l’indifférence. Un véritable remontant contre ce "blues" causé par les dures réalités du quotidien. Au-delà de la cause des femmes, en filigrane, c’est aussi une vision pour l’avenir de son pays, aux portes de l’autodétermination. "Respirer, c’est bien ce que je souhaite à notre pays, respirer plus haut, plus large, intensément", concluait l’autrice, lors de la cérémonie...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 440 en cliquant ICI
Une réalité sociale outre-mer à l’aube de l’autodétermination
Écrire, agir, comme on respire. Ces nouvelles comme une bouffée d’oxygène au nom de toutes ces femmes, contre le silence et l’indifférence. Un véritable remontant contre ce "blues" causé par les dures réalités du quotidien. Au-delà de la cause des femmes, en filigrane, c’est aussi une vision pour l’avenir de son pays, aux portes de l’autodétermination. "Respirer, c’est bien ce que je souhaite à notre pays, respirer plus haut, plus large, intensément", concluait l’autrice, lors de la cérémonie...
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