La naissance d’une artiste

Lors de sa participation à l’exposition collective “A Tomo Mai I Ava Uta” (galerie Winkler, juillet 2021), Yiling a fait le pari de laisser les visiteurs découvrir son carnet de travail, exposé sur un petit bureau. Crédit photo et illustrations : Yiling Changues
L’art a toujours fait partie de la vie de Yiling et c’est donc tout naturellement qu’elle choisit cette voie pour ses études supérieures. À peine soufflées ses 17 bougies que la fille du fenua se retrouve projetée à Paris, capitale de l’art, pour entamer une licence en design graphique. “À l’époque, cela me rassurait d’étudier quelque chose de plus concret que l’art, tel qu’on l’étudie dans une école d’art. Et pourtant, dès que j’ai eu cette première licence en poche, j’ai voulu enchaîner sur une deuxième licence, cette fois-ci en arts plastiques”, nous explique-t-elle. Durant une année entière, Yiling étudie à
l’Université de la Sorbonne, avant d’intégrer l’école d’art d’Angoulême, où elle obtient son Diplôme national d’art (DNA).
Déjà bardée de diplômes, la jeune artiste ne se sent pourtant toujours pas la légitimité d’exercer. Elle veut approfondir ses connaissances, sa technique et développer les projets sur lesquels elle n’a pu travaillé en école d’art. Elle se retrouve une fois de plus sur les bancs de l’école pour un master en arts plastiques, qui durera deux ans. Pour son mémoire de fin d’études, elle choisit d’investiguer l’identité multiculturelle et, là, c’est un véritable déclic pour la jeune femme...
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l’Université de la Sorbonne, avant d’intégrer l’école d’art d’Angoulême, où elle obtient son Diplôme national d’art (DNA).
Déjà bardée de diplômes, la jeune artiste ne se sent pourtant toujours pas la légitimité d’exercer. Elle veut approfondir ses connaissances, sa technique et développer les projets sur lesquels elle n’a pu travaillé en école d’art. Elle se retrouve une fois de plus sur les bancs de l’école pour un master en arts plastiques, qui durera deux ans. Pour son mémoire de fin d’études, elle choisit d’investiguer l’identité multiculturelle et, là, c’est un véritable déclic pour la jeune femme...
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