Il est commun de s'entendre conter la relation étroite qui existe entre l'Homme et la nature. Dans la culture polynésienne, les interactions entre ces deux groupes ont permis de forger une identité culturelle forte, et c'est dans cette atmosphère de symbiose que l'esprit des célébrations de juillet s'est forgé. Cependant, cette connexion ne saurait se limiter à la simple expression de la culture à travers la danse ou le chant. Elle s'inscrit dans une réflexion beaucoup plus large.
En marge des concours de danses et de chants accueillis sur la scène de To'atā, le Heiva est l'occasion de mettre en lumière les acteurs de la culture dans toutes ses déclinaisons. Le Heiva Tu'aro Patitifa permettra aux sportifs de montrer au public et à leurs concurrents, toute l'étendue de leur talent et de leur maîtrise de la discipline pratiquée.
Pour la deuxième édition, les courses hippiques viennent souligner la communion entre la culture, l'Homme et l'animal. Les jockeys vêtus de leur pareu s'élanceront sur leurs montures, comme lors des Heiva d'antan, pour remporter les différents prix des courses et plongeront l'assistance dans une atmosphère forte, une parenthèse dans une autre époque.
Dans un autre genre, le groupe Ori i Tahiti s'inscrira dans cette communion avec la nature, puisque c'est loin des projecteurs, sur le marae de Arahurahu à Paea, que la troupe se produira. Les danseurs évolueront sur l'herbe verte du lieu sacré chargé de mana, avec en décor, les pierres ancestrales foulées par les plus illustres dynasties polynésiennes. Ils évolueront sous les yeux d'un public moins nombreux, dans une ambiance plus intime, propice à la réflexion autour du thème Ai'a, la patrie.
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 411 en cliquant ICI
En marge des concours de danses et de chants accueillis sur la scène de To'atā, le Heiva est l'occasion de mettre en lumière les acteurs de la culture dans toutes ses déclinaisons. Le Heiva Tu'aro Patitifa permettra aux sportifs de montrer au public et à leurs concurrents, toute l'étendue de leur talent et de leur maîtrise de la discipline pratiquée.
Pour la deuxième édition, les courses hippiques viennent souligner la communion entre la culture, l'Homme et l'animal. Les jockeys vêtus de leur pareu s'élanceront sur leurs montures, comme lors des Heiva d'antan, pour remporter les différents prix des courses et plongeront l'assistance dans une atmosphère forte, une parenthèse dans une autre époque.
Dans un autre genre, le groupe Ori i Tahiti s'inscrira dans cette communion avec la nature, puisque c'est loin des projecteurs, sur le marae de Arahurahu à Paea, que la troupe se produira. Les danseurs évolueront sur l'herbe verte du lieu sacré chargé de mana, avec en décor, les pierres ancestrales foulées par les plus illustres dynasties polynésiennes. Ils évolueront sous les yeux d'un public moins nombreux, dans une ambiance plus intime, propice à la réflexion autour du thème Ai'a, la patrie.
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