Àl’occasion du 40e anniversaire de l’indépendance du Vanuatu, proclamée le 30 juillet 1980, Philippe Prudhomme réédite son ouvrage consacré à la petite République océanienne. C’est en 1978, alors que l’archipel se nomme encore les Nouvelles-Hébrides, que l’auteur, professeur de français, a l’idée de publier un petit livre à compte d’auteur au retour d’une exploration avec ses élèves.
Le succès est tel que le bouquin est traduit en anglais. L’enseignant est même missionné par le ministère de la Culture pour écrire un ouvrage sur l’ensemble de l’archipel, qui paraît en 1979. Après une deuxième édition à Paris, Philippe Prudhomme “perd tout dans un incendie, mais retrouve un seul exemplaire de ce document collector”. Ainsi, il a décidé de rééditer cette année son livre, augmenté d’une introduction et d’une conclusion.
Le succès est tel que le bouquin est traduit en anglais. L’enseignant est même missionné par le ministère de la Culture pour écrire un ouvrage sur l’ensemble de l’archipel, qui paraît en 1979. Après une deuxième édition à Paris, Philippe Prudhomme “perd tout dans un incendie, mais retrouve un seul exemplaire de ce document collector”. Ainsi, il a décidé de rééditer cette année son livre, augmenté d’une introduction et d’une conclusion.
L’ami de Bougainville
Grand défenseur de la langue française, l’auteur distille parfois entre les lignes un message anti-Anglais. Il confie par ailleurs : “Il n’y a pas d’argent, les enfants sont parrainés pour payer leur scolarité, les problèmes de santé sont nombreux… C’est une économie de subsistance dans une société frappée par la paupérisation et l’insécurité.” Des “mutations inévitables”, selon lui.
Amoureux de la Polynésie depuis 1977 (où il est à la retraite depuis 2004), il a contribué à faire encore plus connaître Bougainville grâce à son site “Les Amis de Bougainville” (175 000 visiteurs), ainsi que plusieurs ouvrages dédiés au célèbre marin et explorateur français. Très productif, on lui doit aussi des polars, un livre sur Diderot et même un essai
philosophique, Homo Coronavirus.
Amoureux de la Polynésie depuis 1977 (où il est à la retraite depuis 2004), il a contribué à faire encore plus connaître Bougainville grâce à son site “Les Amis de Bougainville” (175 000 visiteurs), ainsi que plusieurs ouvrages dédiés au célèbre marin et explorateur français. Très productif, on lui doit aussi des polars, un livre sur Diderot et même un essai
philosophique, Homo Coronavirus.