En janvier 2017, une expédition conduite par Francesca Von Habsburg, archiduchesse autrichienne, collectionneuse et amatrice d’art, se rend à Hapatoni, aux Marquises, avec pour mission d’observer l’impact des humains sur l’océan. À bord du Dardanella se trouvent notamment des scientifiques, des chercheurs et des artistes contemporains, dont le plasticien polynésien Alexander Lee. L’artiste explique : “Lors de notre passage à Hapatoni, Léonne Tauhiro, la chef de la chorale, nous avait reçus dans sa vallée et nous a montré la petite chapelle dans laquelle le groupe de chant se réunit. C’est ainsi que Markus Reymann, le directeur de TBA21 Academy, le département de la recherche de la Fondation Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, a eu l’idée de les enregistrer et de produire un CD pour les remercier de leur accueil.”
C’est grâce à cette belle rencontre que le CD “Te Tanieka O Taiuoho” a donc pu voir le jour. “Une œuvre qui existe depuis la génération de nos parents”, rapporte Teuiatua Léonne Tauhiro. Et de préciser : “Composée d’au moins six à sept personnes, la chorale n’a pas un nombre exact de chanteurs. Au départ, elle était uniquement religieuse ; aujourd’hui, nous avons intégré notre culture et nos traditions au sens large. C’est pourquoi, parmi les huit chants enregistrés dans notre petite église paroissiale, deux sont culturels et les autres sont religieux. Nous possédons un répertoire très riche. Les textes en langue marquisienne sont composés lorsqu’il y a un événement, des rassemblements, des déplacements dans les îles ou autres manifestations. Là, nous composons des chants suivant chaque thème choisi. Les huit chants ont été composés ainsi.”
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C’est grâce à cette belle rencontre que le CD “Te Tanieka O Taiuoho” a donc pu voir le jour. “Une œuvre qui existe depuis la génération de nos parents”, rapporte Teuiatua Léonne Tauhiro. Et de préciser : “Composée d’au moins six à sept personnes, la chorale n’a pas un nombre exact de chanteurs. Au départ, elle était uniquement religieuse ; aujourd’hui, nous avons intégré notre culture et nos traditions au sens large. C’est pourquoi, parmi les huit chants enregistrés dans notre petite église paroissiale, deux sont culturels et les autres sont religieux. Nous possédons un répertoire très riche. Les textes en langue marquisienne sont composés lorsqu’il y a un événement, des rassemblements, des déplacements dans les îles ou autres manifestations. Là, nous composons des chants suivant chaque thème choisi. Les huit chants ont été composés ainsi.”
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