C’est sur les rivages des Tuamotu que les naufrages se sont produits, mais les conséquences financières et juridiques de ces drames se jouent et se dénouent à Paris. Au Palais-Royal, à côté du Louvre, le Conseil d’État examinait la semaine dernière des recours déposés par plusieurs sociétés et plusieurs responsables juridiques du milieu maritime.
Devant la plus haute juridiction administrative, dans la capitale française, les sociétés Shenzen Shengan Overseas (Chine) et Lung Soon Ocean Groupe (Taïwan) contestent les factures que le gouvernement de Polynésie française leur a adressées après le naufrage de leurs navires respectifs sur les atolls de Arutua et de Nengo Nengo. Une firme polynésienne, la société Tuanui, en lien avec des sociétés singapouriennes, est également concernée.
Puisque fort heureusement aucune victime n’est à déplorer dans ces différents naufrages sur des récifs, les discussions et les arguties juridiques sont uniquement de nature financière. Et les sommes en jeu sont assez considérables : de 500 000 Fcfp à plusieurs millions de Fcfp...
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Devant la plus haute juridiction administrative, dans la capitale française, les sociétés Shenzen Shengan Overseas (Chine) et Lung Soon Ocean Groupe (Taïwan) contestent les factures que le gouvernement de Polynésie française leur a adressées après le naufrage de leurs navires respectifs sur les atolls de Arutua et de Nengo Nengo. Une firme polynésienne, la société Tuanui, en lien avec des sociétés singapouriennes, est également concernée.
Puisque fort heureusement aucune victime n’est à déplorer dans ces différents naufrages sur des récifs, les discussions et les arguties juridiques sont uniquement de nature financière. Et les sommes en jeu sont assez considérables : de 500 000 Fcfp à plusieurs millions de Fcfp...
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