Replaçons la problématique au centre du débat avec les deux concepts clés qui s’opposent ici : le réchauffement climatique provenant du CO2 émis par l’activité humaine depuis la Révolution industrielle fin du XVIIIe, sans contestation possible, défendu par les climato-alarmistes. Et le changement climatique naturel (la température à la hausse comme à la basse), sans rapport avec le CO2 émis par l’activité humaine, défendu par les climato-sceptiques.
Certes, on joue sur les mots : "réchauffement" contre "changement naturel". Pour une meilleure appréhension du débat, faisons attention au diable dans la subtilité scientifique.
Tout d’abord, soulignons la différence entre l’information donnée par la météo et l’information donnée par le climat (France Info du 29 janvier 2019 en parle justement) :
• La météo correspond à quelques valeurs instantanées et bien localisées de températures, de précipitations, de pressions, d'ensoleillements, etc.
• Le climat correspond à une série d'événements météorologiques mesurée en moyenne normalement sur une période de trente ans et pour l’ensemble du globe pour que ce soit pertinent dans l’évaluation du réchauffement climatique.
La prudence s’impose donc lorsqu’on attribue au réchauffement climatique la cause d’un événement spécifique exceptionnel tel un cyclone, une inondation ou la vague de froid polaire (phénomène encore méconnu du "polar vortex") qui a frappé fin janvier 2019 l’hémisphère Nord et plus spécifiquement les États-Unis (voir graphique ci-dessus). On lit même que le génocide des Amérindiens lors de l’arrivée Christophe Colomb vers 1500 aurait causé le "Petit Âge de glace" !
Voici donc un petit résumé des arguments de quelques éminents climato-réalistes en France appelés aussi les climato-sceptiques.
Premièrement, le "Collectif des climato-réalistes" nous paraît être un bon début pour conduire des recherches. Son comité scientifique est composé de personnes qui sont loin d’être des charlatans, traités comme des hérétiques en science par leurs détracteurs climato-alarmistes :
- Vincent Courtillot (géophysicien, Institut de physique du globe de Paris et Académie des sciences)
- Reynald Du Berger (géophysicien, Université du Québec à Chicoutimi)
- Jacques Duran (physicien, directeur de recherches au CNRS, décédé en octobre 2018)
- Christian Gérondeau (ingénieur polytechnicien)
- François Gervais (physicien, Université François Rabelais, Tours)
- Jean-Claude Pont (mathématicien et historien des sciences, université de Genève)
- Alain Préat (professeur en géologie à l’Université libre de Belgique)
- Rémy Prud’homme (économiste, Université Paris-Est Créteil (émérite)
- Benoît Rittaud (mathématicien, Université Paris-XIII)
Nous vous invitons à surfer sur leur site web (https://www.climato-realistes.fr/categorie/giec/) qui contient en temps réel quasiment toute l’information relative aux travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Des scientifiques plutôt climato-réalistes interviennent chacun dans leur spécialité, étroitement liée à la climatologie.
Deuxièmement, le professeur et chercheur Étienne Vernaz, ancien directeur de recherches au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), dans sa vidéo (www.youtube.com/watch?v=azpTPUA8jE0) mentionnée au précédent article présente les faiblesses scientifiques dans le positionnement climato-alarmiste du GIEC...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 413 en cliquant ICI
Certes, on joue sur les mots : "réchauffement" contre "changement naturel". Pour une meilleure appréhension du débat, faisons attention au diable dans la subtilité scientifique.
Tout d’abord, soulignons la différence entre l’information donnée par la météo et l’information donnée par le climat (France Info du 29 janvier 2019 en parle justement) :
• La météo correspond à quelques valeurs instantanées et bien localisées de températures, de précipitations, de pressions, d'ensoleillements, etc.
• Le climat correspond à une série d'événements météorologiques mesurée en moyenne normalement sur une période de trente ans et pour l’ensemble du globe pour que ce soit pertinent dans l’évaluation du réchauffement climatique.
La prudence s’impose donc lorsqu’on attribue au réchauffement climatique la cause d’un événement spécifique exceptionnel tel un cyclone, une inondation ou la vague de froid polaire (phénomène encore méconnu du "polar vortex") qui a frappé fin janvier 2019 l’hémisphère Nord et plus spécifiquement les États-Unis (voir graphique ci-dessus). On lit même que le génocide des Amérindiens lors de l’arrivée Christophe Colomb vers 1500 aurait causé le "Petit Âge de glace" !
Voici donc un petit résumé des arguments de quelques éminents climato-réalistes en France appelés aussi les climato-sceptiques.
Premièrement, le "Collectif des climato-réalistes" nous paraît être un bon début pour conduire des recherches. Son comité scientifique est composé de personnes qui sont loin d’être des charlatans, traités comme des hérétiques en science par leurs détracteurs climato-alarmistes :
- Vincent Courtillot (géophysicien, Institut de physique du globe de Paris et Académie des sciences)
- Reynald Du Berger (géophysicien, Université du Québec à Chicoutimi)
- Jacques Duran (physicien, directeur de recherches au CNRS, décédé en octobre 2018)
- Christian Gérondeau (ingénieur polytechnicien)
- François Gervais (physicien, Université François Rabelais, Tours)
- Jean-Claude Pont (mathématicien et historien des sciences, université de Genève)
- Alain Préat (professeur en géologie à l’Université libre de Belgique)
- Rémy Prud’homme (économiste, Université Paris-Est Créteil (émérite)
- Benoît Rittaud (mathématicien, Université Paris-XIII)
Nous vous invitons à surfer sur leur site web (https://www.climato-realistes.fr/categorie/giec/) qui contient en temps réel quasiment toute l’information relative aux travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Des scientifiques plutôt climato-réalistes interviennent chacun dans leur spécialité, étroitement liée à la climatologie.
Deuxièmement, le professeur et chercheur Étienne Vernaz, ancien directeur de recherches au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), dans sa vidéo (www.youtube.com/watch?v=azpTPUA8jE0) mentionnée au précédent article présente les faiblesses scientifiques dans le positionnement climato-alarmiste du GIEC...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 413 en cliquant ICI

Edito








