Te Manu Reva, “l’avion” en tahitien. Non, ce n’est pas le nom de la prochaine compagnie aérienne locale, mais celui d’un projet que tente de réaliser M. Gaspard Ravel, dit Bill Ravel, sur les hauteurs de Punaauia, au PK 16,7. On peut y voir tout de même un clin d’œil à une toute autre entreprise que l’homme d’affaires veut faire décoller : Islands Airline. Cet entrepreneur, promoteur final du lotissement Te Maru Ata depuis 1983 via la Compagnie financière d’Océanie Polynésie (CFOP), tente de relancer une opération immobilière, alors qu’il exerce des actions illicites et passe outre les décisions de
justice depuis plus de vingt ans. Les propriétaires de la résidence ont su lui résister et déjouer ses plans. Cette fois, Bill Ravel a en tête de créer une extension au-dessus de la résidence principale et d’y construire 70 lots, ce qui suscite l’indignation des riverains. L’un d’entre eux déclare : “On ne compte plus les arrêtés pondus ces dernières années pour que « Sieur Ravel » puisse s’approprier notre route privée. Cette énième tentative montre à quel point cet acharnement devient effroyablement redoutable.” De son côté, le milliardaire ne décolère pas : il se sent trahi de ne pas pouvoir emprunter la route privée de Te Maru Ata dont il a fait “don” pour un franc symbolique, acte notarié à l’appui signé chez Me Bruggmann en 1996 (lire son interview page 21)...
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justice depuis plus de vingt ans. Les propriétaires de la résidence ont su lui résister et déjouer ses plans. Cette fois, Bill Ravel a en tête de créer une extension au-dessus de la résidence principale et d’y construire 70 lots, ce qui suscite l’indignation des riverains. L’un d’entre eux déclare : “On ne compte plus les arrêtés pondus ces dernières années pour que « Sieur Ravel » puisse s’approprier notre route privée. Cette énième tentative montre à quel point cet acharnement devient effroyablement redoutable.” De son côté, le milliardaire ne décolère pas : il se sent trahi de ne pas pouvoir emprunter la route privée de Te Maru Ata dont il a fait “don” pour un franc symbolique, acte notarié à l’appui signé chez Me Bruggmann en 1996 (lire son interview page 21)...
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Edito








