![La Boétie : "i[Le peuple, dès lors qu'il s'est assujetti, on dirait qu'il a non pas perdu sa liberté, mais gagné sa servitude.]i" La Boétie : "i[Le peuple, dès lors qu'il s'est assujetti, on dirait qu'il a non pas perdu sa liberté, mais gagné sa servitude.]i"](https://www.tahiti-pacifique.com/photo/art/default/51652067-39596960.jpg?v=1605899345)
La Boétie : "i[Le peuple, dès lors qu'il s'est assujetti, on dirait qu'il a non pas perdu sa liberté, mais gagné sa servitude.]i"
Sur la route de ceinture, en général côté montagne, mais pas toujours, perpendiculaires à cette route, se trouvent de petites voies sans issue. Si on emprunte l’une d’elles, on entre dans un quartier qualifié de familial, familial au sens où l’entend chez nous, c’est-à-dire très élargi : frères, sœurs, cousins, cousines et fēti’i et même quelques “intrus” en mal de logement tranquille, dans un secteur où “la famille” fait la police… quand elle ne se déchire pas. Après une centaine de mètres, on arrive au bout du bout (tafe) et, parfois, bonjour le demi-tour si les portails environnants sont clos. Il y a de fortes chances que l’un des habitants vous demande qui vous cherchez, parfois avec cette gentillesse qui est à l’origine du slogan “l’accueil, une tradition de notre fenua”, parfois avec une rudesse à l’origine du dicton “chacun chez soi et les cochons seront bien gardés”...
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