Chères lectrices, chers lecteurs,
Encore une année de passée ensemble, que vous soyez abonnés à la version papier ou numérique, que vous achetiez le magazine chez votre marchand de journaux ou que ayez emprunté votre Tahiti Pacifique. Encore une année où vous avez pu vivre l’actualité de notre fenua et d’ailleurs, au travers d’un prisme qui, sans la déformer, en donne une lecture particulière. Notre rédaction s’est attachée à suivre l’actualité, parfois la devancer, avec un regard, une analyse, des opinions qu’on ne trouve nulle part ailleurs localement. Tahiti Pacifique participe à la richesse de l’information, à sa pluralité, alors même que cette information journalistique est souvent malmenée par celle véhiculée par les réseaux sociaux.
Différents, oui, nous le sommes et nous l’assumons, quitte à déplaire dans la sphère politique et parfois économique. Alors même que, au plan national, l’on ne cesse de claironner l’importance de la presse, sa diversité, symbole d’une véritable démocratie, il est plus difficile localement de se faire ouvrir les portes de l’information quand on se permet certaines critiques. Les beaux discours sur la liberté de la presse, sur la volonté de mieux communiquer ont fait long feu.
Mais qu’importe ! L’information peut se trouver par d’autres voies et beaucoup d’entre vous y contribuent, soyez-en remerciés. Les élections territoriales, la réforme des retraites, le référendum calédonien, la réhabilitation de Pouvana’a a Oopa… ont animé l’actualité. Nous avons suivi ces événements, comme nous suivrons pour la nouvelle année les grands chantiers annoncés ou, encore, les réformes prévues de la Protection sociale généralisée et du code du travail.
Pour cela, nous vous avons réservé une petite surprise, à compter de l’année prochaine, parce que nous avons décidé de voir plus grand ! Nous vous laissons le soin de la découvrir, dès le 11 janvier.
En attendant, toute la rédaction se joint à moi, journalistes, pigistes, collaboratrices et collaborateurs, pour vous souhaiter une très belle année 2019.
Bonne lecture et merci pour votre fidélité.
Luc Ollivier