Affirmer qu’il y a un consensus scientifique, alors que le réchauffement climatique présente encore de sérieuses incertitudes scientifiques, relève d’une absurdité intellectuelle selon le professeur en météorologie Richard Lindzen du MIT et le Dr Willie Soon de la Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics.
En effet, face à l'affirmation que "les scientifiques ont une "grande confiance" dans le scénario voulant que la Terre se réchauffe… que l'être humain en est responsable…", Roger Cooke (un mathématicien américain expert en analyse de risques ayant participé à la rédaction de certains rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, le GIEC), estime que le GIEC erre dans sa façon de rapporter les incertitudes inhérentes à la science du climat. Les gens du GIEC ont une façon fautive de raisonner et de communiquer à propos des incertitudes. Ils ne comprennent pas le raisonnement probabiliste, et ça a des conséquences terribles. Ils sont tombés dans "le piège de la confiance". Ils insistent trop sur les fameux "consensus scientifiques". Le GIEC considère que sa mission est de réunir tous les aspects sur lesquels nous nous entendons et de les présenter comme un consensus. Le résultat, c'est qu'il y a moins d'attention sur les choses qu'on ne connaît pas. Et ces choses inconnues sont très importantes pour évaluer les décisions à prendre. Pourtant, il faut bien expliquer les incertitudes liées au climat que l'expert nous invite à accepter. Ce fût le sens de nos articles précédents...
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En effet, face à l'affirmation que "les scientifiques ont une "grande confiance" dans le scénario voulant que la Terre se réchauffe… que l'être humain en est responsable…", Roger Cooke (un mathématicien américain expert en analyse de risques ayant participé à la rédaction de certains rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, le GIEC), estime que le GIEC erre dans sa façon de rapporter les incertitudes inhérentes à la science du climat. Les gens du GIEC ont une façon fautive de raisonner et de communiquer à propos des incertitudes. Ils ne comprennent pas le raisonnement probabiliste, et ça a des conséquences terribles. Ils sont tombés dans "le piège de la confiance". Ils insistent trop sur les fameux "consensus scientifiques". Le GIEC considère que sa mission est de réunir tous les aspects sur lesquels nous nous entendons et de les présenter comme un consensus. Le résultat, c'est qu'il y a moins d'attention sur les choses qu'on ne connaît pas. Et ces choses inconnues sont très importantes pour évaluer les décisions à prendre. Pourtant, il faut bien expliquer les incertitudes liées au climat que l'expert nous invite à accepter. Ce fût le sens de nos articles précédents...
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Edito








