Le mono'i traditionnel ne devrait-il pas être la norme, plutôt que le mono'i industriel ? Crédit photo : Fred Payet/GIMT
Biopiratage, greenwashing, un néologisme, un anglicisme, qui ne résonnent pas encore à nos oreilles mais qui s’attaquent au savoir-faire, à la culture polynésienne. Pour que chacun comprenne bien de quoi il est question, des définitions s’imposent :
Biopiratage : privation d’un peuple des fruits de son savoir-faire. Des entreprises déposent des brevets sur un patrimoine traditionnel pour son utilisation commerciale exclusive, sans bénéfices pour les détenteurs de ce savoir-faire.
Greenwashing : procédé marketing dont le but est de donner une image écologique, responsable, naturelle, traditionnelle bien que le produit soit, à l’inverse, issu de filières industrielles et de procédés qui ne soient pas naturels.
La culture polynésienne n’est mise en avant aujourd’hui que par ...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n°349 en cliquant ICI
Biopiratage : privation d’un peuple des fruits de son savoir-faire. Des entreprises déposent des brevets sur un patrimoine traditionnel pour son utilisation commerciale exclusive, sans bénéfices pour les détenteurs de ce savoir-faire.
Greenwashing : procédé marketing dont le but est de donner une image écologique, responsable, naturelle, traditionnelle bien que le produit soit, à l’inverse, issu de filières industrielles et de procédés qui ne soient pas naturels.
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