En Australie, un groupe de spécialistes climato-sceptiques a contribué à la rédaction du livre Climate change - The Facts 2017, sous le patronage de l’Institute of Public Affairs (IPA). Ce think tank conservateur basé à Melbourne a le mérite d’enrichir le débat scientifique. Ce sera notre principale source (avec les numéros de pages cités) pour étayer leurs arguments scientifiques. Les auteurs ne renient pas le changement climatique. Cependant, ils pensent que l’origine naturelle est plus à mettre en cause que l’origine anthropique.
L’acidification des océans
L’une des conséquences du réchauffement climatique est l’acidification des océans, constituant les deux tiers du globe. Ce processus correspond à la dissolution du CO2 atmosphérique dans la mer qui, naturellement, en contient déjà environ 60 fois plus (voir p. 151). Selon une autre source, ci-dessous un schéma du "cycle du carbone" montrant 750 gigatonnes de carbone (GtC) dans l’atmosphère contre 39 000 GtC dans l’hydrosphère (biosphère océanique) ; soit 52 fois plus avec un échange de 90 à 92 GtC/an entre ces deux écosystèmes...
Pour lire l'intégralité de ce Dossier, commandez Tahiti Pacifique n° 416 en cliquant ICI
L’acidification des océans
L’une des conséquences du réchauffement climatique est l’acidification des océans, constituant les deux tiers du globe. Ce processus correspond à la dissolution du CO2 atmosphérique dans la mer qui, naturellement, en contient déjà environ 60 fois plus (voir p. 151). Selon une autre source, ci-dessous un schéma du "cycle du carbone" montrant 750 gigatonnes de carbone (GtC) dans l’atmosphère contre 39 000 GtC dans l’hydrosphère (biosphère océanique) ; soit 52 fois plus avec un échange de 90 à 92 GtC/an entre ces deux écosystèmes...
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Edito








