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Hongrie : le charme de Budapest


Vendredi 12 Juin 2020 - écrit par Pauline Sillinger


Au cœur de l’Europe centrale, scindée en deux par les eaux du Danube, se trouve la capitale de la Hongrie : Budapest. Empreinte d’une beauté froide et fascinante, il semblerait que cette ville ait été créée avec un seul critère : la prestance.



Les amateurs d’architecture et de vieilles pierres passent des journées entières à se balader pour admirer les monuments majestueux de la capitale, tels que le Parlement hongrois. Crédit photo : tripsavvy.com
Les amateurs d’architecture et de vieilles pierres passent des journées entières à se balader pour admirer les monuments majestueux de la capitale, tels que le Parlement hongrois. Crédit photo : tripsavvy.com
Découvrir Budapest, c’est tout d’abord faire un voyage dans le temps et dans nos livres d’histoire. Le dépaysement est immédiat. À peine descendu de l’avion, les taxis d’une autre époque, que l’on paye en forints hongrois, nous rappellent que le bloc soviétique s’est effondré il y a moins de
trente ans… et que la transition ne s’est pas faite en un jour ! En Hongrie, il y a une ambiance post-communiste encore palpable et les horreurs de la Seconde Guerre mondiale semblent si proches. C’est ce qu’indiquent des monuments commémoratifs, tels que "Chaussures au bord du Danube", érigé il y a à peine quinze ans, pour rappeler aux passants l’histoire de ces Juifs qui ont été fusillés et jetés dans le Danube.

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Bas les masques !

Bas les masques !
Le spectre de la grève générale qu’a laissé planer l’intersyndicale en début de mois aura eu le mérite de démasquer les autorités. Lors des négociations avec les organisations syndicales et patronales, le Pays et l’État ont dû s’expliquer, sans pouvoir, cette fois, se défiler ; et leurs discours n’ont cessé de changer à propos de leur gestion de la crise Covid, allant jusqu’à se contredire. Après avoir exigé le confinement général de la population et mis l’activité économique à l’arrêt, puis rouvert d’un coup nos frontières pour sauver le tourisme extérieur, on nous dit aujourd’hui que le virus circule et qu’il n’y a plus besoin de multiplier les tests, puisque sa propagation est trop importante. Reste donc à “attendre l’immunité collective et, bien sûr, le vaccin”, voilà le nouveau discours officiel, qui, en parallèle, répète à l’envi que la Polynésie a déployé “l’un des dispositifs de sécurité sanitaire les plus complets au monde (sic)”. Le nombre de cas confirmés liés au coronavirus a franchi la barre des 1 000, les premiers morts ont été annoncés, les foyers de contagion se répandent désormais dans les quartiers populaires, l’économie locale est exsangue et la crise sociale, bien réelle… Notre fenua est passé de Covid-free à free Covid… Tout ça pour ça !
Désormais, au bord du précipice, nul autre choix que de nous endetter davantage pour rebâtir la Polynésie de demain, avec le plan de relance “Cap 2025” concocté dans son coin par M. Rohfritsch, Vice-président et ministre de l’Économie et des finances. Un programme quinquennal, avec une échéance courte de cinq ans, qui semble pourtant trop ambitieux, de l’avis des spécialistes. Mais ce problème ne sera pas celui de Teva, mais celui de son successeur... ayant démissionné le lendemain pour sa course aux sénatoriales 2020 ! Doudou est perdu, et Dodo s’en remet à Macron qui, lui, s’étouffe derrière son masque. Au pays de l’oncle Sam, Donald n’est pas en reste, puisqu’il aurait sciemment minimisé l’épidémie, selon les révélations du journaliste américain Bob Woodward, pour “ne pas faire paniquer la population” et “donner la priorité à l’économie”. Ainsi font, font, font, les petites marionnettes. Ainsi font, font, font, trois p’tits tours et puis s’en vont…

Ensemble, faisons bouger les lignes !

Bonne lecture, te aroha ia rahi.

Dominique SCHMITT