Entre 1856 et 1898, Jean Nadeaud rassembla la plus belle collection représentative de la flore de Tahiti, déposée à l’époque en grande partie à l’herbier du Muséum national d’Histoire naturelle de Paris. En 1873, il publie les résultats de ses recherches botaniques dans Énumération des plantes indigènes de l’île de Tahiti, le seul document du XIXe siècle couvrant l’ensemble de la flore indigène de Tahiti. Depuis, de nombreux botanistes du monde entier ont contribué à l’enrichissement de ses recherches et collections, notamment grâce à la création de l’Herbier de Polynésie française, qui fête ses 40 ans. Aujourd’hui la relève polynésienne est assurée, grâce à l’acquisition des doubles de parts (échantillons) d’herbier, à la formation de botanistes locaux et à l’ouverture d’un poste d’assistante de conservation dédié à l’Herbier. Véritable joyaux du fenua encore trop peu connu du grand public, l’herbier de Polynésie française sera la vedette des journées du Patrimoine organisées au Musée de Tahiti et des îles, du 18 au 20 septembre prochains...
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