Caramba ! Encore raté !
On vous l’avait bien dit : c’est un complot contre le quasi-nonagénaire ! Comme ça, brutalement, soi-disant après effusions au "Piment rouge", tous n’étaient pas morts, mais tous étaient atteints, comme écrivait Jean de La Fontaine (j’aurais préféré "étaient tatins" même si ça fait un peu tarte). Alors, la présidence rouge et le subrécargue de l’État, pour une fois copains selon la formule "les ennemis de mes ennemis sont mes amis", sautèrent sur l’occasion. Tout rassemblement de plus de 50 personnes fut interdit et même, pour être sûr de gêner le susdit rū’au, de 10 personnes alors que le même susdit espérait encore lancer son grand rassemblement. Un rassemblement, vous savez, c’est quand un parti qui ne rassemble plus annonce en créer un. Autrefois, en Métropole, quand une minorité quittait un parti, elle en fondait un nouveau qu’elle appelait "parti unifié". La dissidence, c’est l’unité… Chez nous, c’est plus subtil. Si un tāhō’ēra’a ne fonctionne plus, on crée une ’āmuitahira’a. Les deux mots ne sont pas tout à fait synonymes. Le second signifie "fédération", c’est juridique, c’est plus savant. Ça en jette !
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Edito








