Processus de décolonisation contre crise sanitaire. Le 4 octobre prochain, la Nouvelle-Calédonie devrait une nouvelle fois s’exprimer sur son avenir : les citoyens inscrits sur la liste électorale spéciale sont invités à participer à nouveau à un référendum sur l’indépendance de leur archipel. Initialement prévu le 4 septembre mais repoussé d’un mois en raison de la Covid-19, ce scrutin est le deuxième du genre, après une première consultation, organisée le 4 novembre 2018.
Ce jour-là, le non à l’indépendance avait atteint 56,4% des voix, tandis que le oui remportait – et il s’agissait d’un niveau qu’aucun observateur n’attendait aussi haut – 43,6%. De quoi poser des rapports politiques d’une autre ampleur que si la droite loyaliste l’avait emporté à plus de 70%, par exemple. De quoi augurer de rapports un peu plus tendus que si un camp l’avait très nettement emporté sur l’autre, également.
Ces données du premier scrutin...
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Ce jour-là, le non à l’indépendance avait atteint 56,4% des voix, tandis que le oui remportait – et il s’agissait d’un niveau qu’aucun observateur n’attendait aussi haut – 43,6%. De quoi poser des rapports politiques d’une autre ampleur que si la droite loyaliste l’avait emporté à plus de 70%, par exemple. De quoi augurer de rapports un peu plus tendus que si un camp l’avait très nettement emporté sur l’autre, également.
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